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Il reçoit la visite d'Éric, un vieil ami à lui. Eric (la
trentaine, type africain) calme et sage de nature lui propose
de marcher sur la rue avec lui. Didier accepte et l'un de ses
enfants l'accompagne.

En chemin, Eric fait une halte à un bâtiment en construction
après un appel qu'il a reçu de la part d'un de ses ouvriers.
Un ouvrier a fait une chute. Didier l'attend un peu plus loin
avec son fils et aperçoit cet ouvrier blessé assis sur une
marche d'escalier avec un visage pétrifié et effrayant.
Didier, effrayé décide de partir mais son fils lui lâche sa
main en lui disant qu'il préfère rester avec son père qui
devient finalement Eric.

Didier continue son chemin et tombe sur un enfant lui
demandant de l'aider à retrouver son ami disparu. Il
l'accompagne en lui tenant la main. Le décor change sur la
route. Tantôt, on voit de la verdure, tantôt des rochers
jusqu'à une grotte qu'ils empruntent. En longeant cette
grotte dans une obscurité intense, Didier ne tenant plus la
main de l'enfant continue à marcher. Son but est finalement
de chercher la sortie. La grotte où il se trouve se
transforme durant sa marche en une sorte de cave avec des mur
en boit.

Il entend une musique de jazz qui s'intensifie au fur et à
mesure qu'il marche. Il arrive à une pièce où il rencontre
Eric avec quelques autres personnes. Didier ne le reconnaît
pas comme celui avec qui il marchait bien que son visage
était le même. Eric lui propose de s'asseoir avec lui et
après un temps, un genre d'animateur prend la parole sur une
scène en désignant Didier des doigts comme étant le gagnant.
Didier faisant partie de cette histoire acquiesce et se
dirige vers la scène. Il remercie le public mais aperçoit
dans la foule, un homme en colère avec un visage effrayant.
Didier s'éloigne de la scène par une porte arrière en
ignorant le public et se dirige vers une pièce qui semble
être les toilettes. Il est persuadé d'avoir déjà vu cette
personne.

Une odeur nauséabonde se propage dans les toilettes. Didier
ne voit plus la porte d'où il est entré. Ne trouvant pas
d'autres portes dans les toilettes, il décide de sauter par
la fenêtre. Il ne semble pas blessé par la chute de 10 mètres
qu'il a faite. Il continue son chemin la main couvrant sa
bouche vers un genre de cours à travers une grille d'entrée.
À l'intérieur, il y a plusieurs personnes genre sdf habillées
avec des vêtements hippies et des coupes rasta. L'odeur est
beaucoup plus imposante. Didier remarque des déchets humains
par terre, comme des morceaux d'os, des cheveux, des doigts
etc...